Présentation
Au cœur du quartier du Longdoz, traversez 4 siècles d’aventures industrielles avec de véritables trésors de notre patrimoine.
Historique
La plus ancienne partie de l’usine fut bâtie en 1845 par les frères Dothée pour y installer leur production de fer blanc...
En 1862, la société Dothée est absorbée par la « Société des Charbonnages et Hauts-Fourneaux de l’Espérance » pour devenir la « Société des Charbonnages, Hauts-Fourneaux et Laminoirs de l’Espérance » puis la « Société Anonyme Métallurgique d’Espérance-Longdoz » en 1877.
Après un pic de production de 142.000 tonnes de tôles en 1948, l’usine du Longdoz est délaissée, faute de place, pour d’autres usines de la région. Le laminage à chaud est arrêté en 1957. Après la fusion de Cockerill et Espérance-Longdoz en 1970, l’activité cesse définitivement en 1980.
Quelques dates à découvrir
1963
Ouverture d’un musée par Espérance-Longdoz, réunissant les collections de la Compagnie des conduites d’eau rassemblées par René Evrard et celles d’Espérance-Longdoz, récoltées par Léon Willem. Cockerill en reprend la gestion après la fusion avec Espérance-Longdoz (1970).
1973
Le musée devient l’asbl « musée du fer et du charbon ». Cockerill en fait don à la Ville de Liège. Sa gestion est confiée au Musée de la Vie Wallonne.
1990
Suite aux difficultés financières de la Ville de Liège, l’Université de Liège, la Ville de Liège et le Musée de la Vie Wallonne, épaulés par Cockerill Sambre et Vieille-Montagne créent l’asbl « Maison de la Métallurgie », centrée sur la valorisation de la culture scientifique, technique et industrielle au sens large, ainsi que le patrimoine qui y est associé.
1992
L’asbl est renommée « Maison de la Métallurgie et de l’Industrie de Liège ».
2009
Le Musée est reconnu comme Musée de la Communauté française, en catégorie B.